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DSI de transition dans le secteur de la santé

28/6/2019

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​Tissot Consulting est mandaté pour assurer la gestion du département informatique, dans l’attente du recrutement d’un nouveau DSI, à raison de 2 jours par semaine.

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Au-delà de la gestion au quotidien du département, un des objectifs est de mettre en œuvre des recommandations issues de nos précédents audits :
  • L’audit de la fonction informatique, qui a démontré un écart important entre les attentes des métiers au niveau stratégique, tactique et opérationnel, et les services fournis par la DSI,
  • L’audit de la gouvernance et de l’organisation de la DSI, qui fournit des recommandations afin de réduire les écarts constatés précédemment.
 
Le but est d'offrir une informatique "bien huilée" au nouveau DSI, à l’issue de la mission. 
 
Le mandat a permis de mettre en place les fondations de la nouvelle direction informatique, grâce à notre « boite à outils » :
  • Gouvernance
    • Mise en œuvre de la gouvernance proposée lors de l’audit,
    • Mise en place d'un portefeuille de projets informatiques, d’un comité de pilotage mensuel structuré, en collaboration avec la direction générale,
    • Ré-allocation des projets mineurs hors portefeuille,
    • Préparation du cadre du schéma directeur avec les principaux axes stratégiques,
    • Mise en place d'une revue budgétaire mensuelle,
  • Organisation
    • Organisation du service support métier avec un SPOC (Single Point Of Contact), des chefs de projets, une équipe de formateurs,
    • Revue planifiée des logiciels administrés par la DSI,
    • Structuration du service des opérations d’infrastructure,
    • Organisation du Service Desk,
    • Revue des descriptions de fonctions pour les 16 profils de l'équipe informatique,
    • Élaboration des objectifs annuels des collaborateurs,
  • Gestion des services
    • Revue des principaux contrats fournisseurs et mise en place d'un processus de revue périodique,
    • Formalisation des SLA internes et des SLA avec les fournisseurs,
    • Formalisation des OLA internes,
    • Structuration de la gestion des incidents, des demandes, des problèmes, des changements et des capacités

Nous avons également participé au recrutement de la nouvelle équipe de direction et des principaux responsables de services.
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Ouverture de PLEXUS SANTE

14/1/2019

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Après 2 années d'efforts partagés avec une équipe pluri-disciplinaire issue des 2 hôpitaux cantonaux de Vaud et Genève, la satisfaction est au rendez-vous avec l'inauguration officielle de la plateforme logistique PLEXUS-SANTE.

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Communiqué de presse du 14 Janvier 2019

Les HUG et le CHUV inaugurent leur magasin central commun à Bussigny.
Les HUG et le CHUV ont inauguré en présence des conseillers d’Etat Mauro Poggia (GE) et Pierre-Yves Maillard (VD) leur nouvelle plate- forme logistique commune Vaud-Genève à Bussigny. Les deux hôpi- taux ont pris la décision de délocaliser leurs magasins centraux dans un nouveau bâtiment afin de pouvoir libérer des espaces précieux au cœur des deux cités hospitalières. 
Faisant face à un défi démographique important, les directions des HUG et du CHUV mettent tout en œuvre pour moderniser leurs infrastructures. La plateforme logistique commune Vaud-Genève, baptisée PLEXUS-Santé (pour Plateforme Logistique EXterne pour les Unités de Soins), leur permet de récupérer, sur leurs cités hospitalières respec- tives, quelque 2 000 mètres carrés chacun. PLEXUS-Santé regroupera les stocks d’articles médicaux de consommation courante. Après une phase de constitution de stock, les pre- mières commandes à destination du CHUV et des HUG débuteront en mars 2019.
Lors de la cérémonie d’inauguration, les conseillers d’Etat Mauro Poggia et Pierre-Yves Maillard se sont félicités de ce partenariat stratégique, témoin de la bonne collaboration hospitalière intercantonale lémanique.
Edipresse Groupe a financé la construction de la plateforme logistique sur un terrain lui appartenant. Les HUG et le CHUV ont financé les aménagements intérieurs, le système d’information ainsi que les équipements et se partagent les frais de location et les coûts d’exploitation. PLEXUS-Santé est équipée des dernières technologies. Elle dispose notam- ment d’un système de stockage automatique de grande hauteur (environ 10 mètres) d’une capacité de 58 000 caisses, ainsi que de processus logistiques semi-automatisés et infor- matisés. À titre d’exemple, les robots permettent d’assurer 1 850 mouvements par heure.
Une centralisation qui permet des économies
L’éloignement de la plateforme à l’extérieur de la ville dans un lieu plus accessible et unique pour les livraisons du CHUV et des HUG permet des économies d’échelle sur les contrats d’achats auprès des fournisseurs estimés à 2%, soit CHF 2.4 millions par année. Ceci entraînera également une diminution conséquente - près de la moitié selon une estimation - du nombre de mouvements de gros camions sur les deux cités hospitalières. 

Le personnel, soit l’équivalent de 15 postes plein temps, bénéficiera de conditions de travail nettement améliorées grâce à un environnement moderne, sûr et lumineux. L’automatisa- tion de certaines tâches permet notamment de diminuer la pénibilité du travail. Une double simulation, l’une physique avec des collaborateurs et l’autre en réalité virtuelle, a été réali- sée afin de garantir un aménagement ergonomique des postes de travail. Ceci permettra de préparer les quelques 540 commandes journalières pour répondre aux besoins des unités de soins. 


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Tissot Consulting s'exporte à Bruxelles

20/12/2018

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Le Conseil d'Administration d'un grand établissement hospitalier de 1'200 lits a fait appel à Tissot Consulting avec pour mission de réaliser un audit de la fonction informatique. Nos recommandations ont porté sur l'alignement stratégique, la gouvernance des systèmes d'information, l'organisation du département, la gestion des servis fournis et la sécurité.
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​Le périmètre de l’audit prend en compte les éléments suivants :
  • Les fondations du système d’information : infrastructure, architecture applicative, compétences de l’équipe,
  • Les processus de gestion : directives, procédures, rôles et responsabilité au sein de la DSI, gouvernance de projet (Prince 2), outils de pilotage de l’activité, organisation et gestion des sous-traitants,
  • La qualité des services fournis au niveau 1,2,3 (référentiel ITIL) : support de 1er niveau (demandes et incidents), support bureautique, applicatif et infrastructure,  relation avec les fournisseurs (appels d’offres, contrats et accords de services, suivi de l’activité), interactions avec les métiers,
  • La stratégie : vision, alignement avec les métiers, alignement interne au sein de la DSI, structure de gouvernance (entités, mandats, rôles et responsabilités des membres), communication.

Un accent particulier est prévu sur le comportement des équipes afin de rétablir la confiance à tous les niveaux :
  • Écoute des utilisateurs et réponse aux demandes (information, assistance, développement, projet),
  • Engagement, intégrité et transparence.

​45 personnes sont interrogés.

Elles représentent 13 groupes de profils différents, dans les secteurs médicaux, des soins, des fonctions de support, de la direction générale, et de l'informatique.

Le résultat : Un rapport détaillé de 100 pages avec 61 recommandations qui ont été lues et épluchées !

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  Principaux axes du rapport :
  • la gouvernance su système d'information : schéma directeur, gestion des risques, pilotage de projet, rôles et responsabilités,
  • l'organisation de l'informatique : style de management, compétences à développer, séances d'équipes, politique salariale, gestion du support,  gestion des fournisseurs et des contrats,
  • l'architecture informatique : catalogue de services, road map d'évolution des logiciels, DRP, sécurisation des données,
  • les interactions informatique - métiers : pool d'utilisateurs clés, présence sur le terrain, communication et gestion des changements.
A l'issue de cette mission, nous assurons un rôle de DSI de transition,
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Intelligence Artificielle dans une Organisation Internationale !!

20/11/2017

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Ou comment l'Intelligence Artificielle (IA) peut apporter de la valeur à une Organisation Internationale (OI)
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Nous étudions des cas d'utilisation de cette technologie, afin notamment de réduire certaines tâches répétitives, et permettre aux collaborateurs de se concentrer sur des activités à plus forte valeur ajoutée.
Nous constatons ici que l'Intelligence Artificielle, combinée avec  l'intelligence humaine, permet d'apporter un service plus rapide et plus fiable aux clients de l'organisation. Tout le monde est gagnant : l'organisation, les collaborateurs et les clients. 

TISSOT Consulting Sàrl est fière d'accompagner une Organisation Internationale dans sa réflexion sur l'apport de l'intelligence artificielle pour la production de ses services.

Le contexte
  • L'OI souhaite automatiser et assister l’analyse des documents relatifs aux activités de Trading,
  • L'OI se doit d’évaluer les avancées proposées par la transformation digitale afin d’en tirer le meilleur parti. Ceci comprend notamment l’analyse automatique de documents par l’utilisation des techniques d’Intelligence Artificielle.

2 thèmes seront étudiés afin de déterminer s’il existe un business case pour ce projet
  • Trade & environment : automatiser la recherche des références à l’environnement parmi tous les thèmes relevants, et améliorer le reporting,
  • Trade monitoring : identifier une short-list de technologies, pour rechercher les mesures qui concernent l'OI, et mises en place par les membres.

Objectif de l'étude
  • Evaluer l’intérêt de recourir aux technologies d’Intelligence Artificielle pour automatiser l’analyse des documents relatifs aux activités de Trading
  • Evaluer l’intérêt et la valeur ajoutée des technologies de Machine Learning et de Natural Language Processing 

Bénéfices attendus
  • Comprendre et formaliser le processus actuel de collecte des informations
  • Evaluer l’apport du web scraping et les modalités de mise en place
  • Réduire le temps et l’effort manuel de traitement des documents
  • Produire un niveau de pertinence équivalent voire supérieur au traitement manuel des documents

Web scraping
Nous avons formalisé le processus actuel de collecte des informations sur les 2 thèmes choisis, puis identifié la valeur ajoutée que pourrait apporter le web scraping. ensuite, nous avons sélectionné quelques outils de web scraping, et précisé leurs modalités de mise en oeuvre.

Machine Learning
Dans un premier temps, nous avons défini le périmètre du PoC  (Proof of Concept) et les résultats attendus, pour déterminer les critères de validation du PoC.
Nous avons proposé des critères de sélection du partenaire, parmi 3 prestataires consultés, et produit le document « Terms of Reference ».

La synthèse des résultats obtenus a permi à l'organisation internationale de mettre en place une feuille de route pour avancer dans ce projet.

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La nécessaire transformation digitale

5/5/2017

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La transformation digitale n’est pas une affaire de grands mots, ni de projets techniques pour cadres informatiques de hauts vols.
La transformation digitale, c’est de l’innovation à tous les niveaux de l'entreprise, avec tous les collaborateurs, avec une vision résolument orientée vers le client, et avec un partage d'information entre départements et collègues.
Au delà de la technologie si souvent mise en avant, c'est avant tout un changement culturel qui est la clé de la transformation digitale.
Aujourd'hui le client est de plus en plus informé : il compare, il échange, il partage, il recherche des  services personnalisés, il intègre le développement durable dans ses décisions d’achat… il est devenu un « consom’acteur ».
De son côté, l'entreprise n'est pas une île, et sa performance est de plus en plus liée à ses capacités de compréhension et d’adaptation au monde qui l’entoure. Cette transformation passe par l’écoute de l’ensemble des parties prenantes de l’entreprise et de l’écosystème dont elle fait partie, et en premier lieu : ses clients et ceux qui pourraient le devenir.
La transformation digitale permet de rapprocher l’entreprise de son client, afin de mieux le comprendre et lui proposer une offre adaptée. Elle permet également de s'approprier de nouveaux clients avec de nouveaux profils, de développer de nouveaux produits et services, voire de transformer son modèle d'affaire.
Les exemples sont déjà nombreux ...
Aujourd'hui, la question n'est pas de savoir si la transformation digitale est utile à votre entreprise ou non. La vraie question est savoir si celle-ci sera un facteur clé de succès pour rayonner sur votre secteur d'activité...
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Groupe Ofac : Construire des fondations pour l'avenir

29/7/2016

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Afin de faciliter le développement du groupe, la direction d'Ofac lance la réorganisation de ses processus de gestion internes.
​Elle mandate Tissot Consulting pour l'accompagner dans son appel d'offre.

Le Challenge : comment réorganiser les systèmes de gestion internes pour accompagner le développement du groupe ?

​L'objectif 
La Société Coopérative Ofac souhaite se rapprocher de ses clients existants et développer son activité en offrant une palette de services plus étendue. 
L’objectif est donc double : d’une part se réorganiser pour devenir encore plus performant, et d’autre part développer de nouvelles prestations et services pour répondre aux besoins de ses sociétaires. Les nouveautés concernent les produits phares dans le domaine de la facturation aux 2 institutions d’assurance et les systèmes informatiques de gestion de l’officine. Des systèmes de gestion internes du groupe Ofac, plus modernes, permettront d’appuyer des processus métiers mieux intégrés au niveau de l’ensemble des sociétés du groupe Ofac.

La finalité du projet est triple
  • Enrichir l’offre de services
  • Réaliser des gains de productivité
  • Améliorer la gestion de l’information

Les étapes
  • Recueil des besoins : il porte sur les processus Finance, Vente & Marketing, Logistique et SAV,
  • Appel d’offre : 8 intégrateurs répondent à l'appel,
  • Sélection d’une solution
  • Durée du processus : 4 mois. « Nous avons atteint notre premier objectif. Le prochain est de livrer le cœur du projet en 1 an ! », indique le sponsor du projet avec optimisme.

Les résultats
  • Une solution adaptée à la taille du groupe Ofac
  • Une solution structurante
  • L’équipe de projet est identifiée
  • Le budget et le macro-planning sont validés

Le mot du client
« Tissot Consulting nous a accompagné en toute indépendance dans le choix d’une solution pérenne et structurante pour nos systèmes de gestion internes, et nous avons atteint notre objectif ambitieux de finaliser l’appel d’offre en 4 mois seulement ».
« Nous avons choisi de poursuivre notre collaboration avec Lionel Tissot qui nous accompagnera dans le pilotage de projet ».

Stefan BUSER, Membre de la direction du groupe Ofac, CIO et Sponsor du projet
etude_de_cas_ofac_v1.pdf
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Quels sont les facteurs clés des entreprises qui innovent ?

29/4/2016

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Le Monde Economique vient de paraître.
Découvrez l'interview exclusive de Lionel Tissot dans le magazine, et sa vidéo.

Voir l'interview réalisée par Thierry Dime, Rédacteur en chef du magazine Le Monde Economique
Monde Economique Les revenus, les bénéfices et les emplois sont les trois dimensions de la croissance des PME, et les conclusions d'une récente étude sont peu réjouissantes. Les PME doivent-elles s'inquiéter du contexte actuel ?
 
La PME fait partie d’un écosystème complexe, où elle subit les agressions de son environnement externe. Les réglementations évoluent, l’ouverture des marchés renforce la concurrence, les cycles se raccourcissent, et de nouveaux entrants remettent en cause des modèles établis.
La PME, même la plus petite, est amenée à se réinventer pour absorber les soubresauts de cet environnement. Le rôle du dirigeant est de veiller aux facteurs externes qui influencent la (sur)vie de l’entreprise.
 
Afin de poursuivre son développement, conserver ses marges, ses revenus et son personnel, la PME ne doit plus considérer que ses services plairont éternellement à ses clients. Prenez l’exemple de Nokia que ses clients adoraient. Qu’en reste-t-il ?
LA PME se doit d’interagir avec ses clients pour mieux comprendre leurs attentes et adapter son offre.
 
Par une démarche d’amélioration continue de sa gestion, sa capacité d’innovation, la responsabilisation de son personnel, elle sera mieux armée pour saisir des opportunités d’affaires, et préparer son futur, sans inquiétude.
 
Monde Economique Tissot Consulting s'est forgé une réelle expertise dans la transformation  des entreprises. Or on observe un grand nombre d'entreprises qui n'ont toujours pas pris le virage du digital. Est-ce une erreur?
 
Les attentes des clients sont en pleine évolution : l’usage remplace la propriété, la collaboration remplace la concurrence, le shopping à la maison remplace le déplacement en boutique, etc.
La transformation digitale permet d’ajuster les modèles d’affaires à ces nouveaux usages, mais elle ne doit pas seulement se concentrer sur le marketing, le e-commerce ou le développement d’applications web.
 
Pour prendre le virage, l’entreprise doit adapter son offre de services et son approche client, ce qui impacte inévitablement ses processus internes.
 
Le digital permet à l’entreprise d’améliorer sa flexibilité, d’optimiser sa chaîne de valeur et de rester compétitive, en apportant des services rapides, précis et personnalisés, qui sont  conformes aux attentes de ses clients.
 
Les nouveaux acteurs forcent les entreprises établies à revoir leur modèle d’affaire, ce qui constitue une opportunité pour celles qui franchissent le pas. Les autres prennent le risque de se faire distancer, voire de disparaître.
 
Monde Economique On admet aujourd'hui que le digital n’est pas une fin mais un moyen. Partant de votre expérience, la transformation digitale passe-t-elle par des outils ou une mentalité… ou les deux ?
 
La transformation digitale consiste à faire évoluer l’entreprise en profondeur, dans une approche collaborative tournée vers le client final et l’efficience opérationnelle.
 
Pensez à l’évolution des modes de consommation et aux réponses offertes par l’industrie automobile : la Ford T était un modèle unique de couleur noire ; un siècle plus tard le client personnalise sa voiture sur internet, avec des centaines d’options.
 
Aujourd’hui les évolutions de processus, grâce à la transformation digitale, se font sur des cycles inférieurs à 10 ans. La volonté du chef d’entreprise est donc essentielle pour initier un  changement de mentalité dans l’entreprise. Les outils digitaux ne sont que des moyens qui accompagnement cette démarche.
 
Monde Economique Quand on parle de mentalité, on parle de culture d'entreprise. Et derrière la culture d'entreprise, il y a des collaborateurs. Afin de permettre à chacun de retrouver ses repères, comment Tissot Consulting pilote-t-il ce changement afin de gérer au mieux les résistances qui peuvent apparaître?
 
Nous autres, êtres humains, aimons notre zone de confort. Le changement vient la déranger en nous poussant hors de ses limites.
La méthodologie de Tissot Consulting se concentre sur la préparation du changement, qui commence par l’identification précise du problème à traiter. Nous impliquons la direction générale et les collaborateurs à tous les niveaux de la hiérarchie.
L’étape suivante vise à offrir la vision du futur au collaborateur, afin qu’il imagine sa nouvelle zone de confort et comprenne ce que le changement va lui apporter. C’est alors que l’adhésion débute.
La suite n’est que l’application de méthodologies éprouvées, en gardant le fil rouge de l’observation et de l’écoute, afin de garantir que chacun adhère au changement à son rythme.
 
Monde Economique Pour rester performante et s’octroyer de nouvelles parts de marché, les entreprises doivent se renouveler et se montrer inventives. L'entreprise peut-elle définir un management de l’innovation ?
 
La remise en cause du modèle d’affaire passe par une amélioration de l’organisation et le management de l’innovation.
Challenger, améliorer, renouveler, créer un service nécessite d’être créatif ... et de sortir de sa zone de confort. La mise en place de groupes de travail mixtes, d’âges différents et complémentaires, stimule la créativité. Elle évite le clonage des idées, favorisé par le clonage des personnes.
Je citerai un acteur du secteur électronique qui n’avait développé qu’un seul vrai nouveau produit en 2 ans : un réveil, avec le même design que ses autres équipements. Joli produit, certes, mais un résultat bien maigre pour les 50 collaborateurs du département R&D !
Le collaborateur qui connaît peu le sujet traité amènera des idées étonnantes, parfois drôles et souvent pertinentes.
Intégrer des clients dans la démarche d’innovation est également une piste à explorer par l’entreprise, comme le font de nombreuses startups.
 
Le processus d’innovation, essentiel pour anticiper les demandes des clients et mieux se positionner face à ses concurrents, nécessite une vision, une animation et une méthode simple, permettant aux collaborateurs de devenir des intra preneurs, et donner du sens à leur contribution.
 
Monde Economique Afin de comprendre les grands enjeux du monde de l'entreprise et d'accompagner au mieux les PME,  sous quelles formes Tissot Consulting apporte-t-il sa valeur ajoutée?
 
Nos clients apprécient notre connaissance de nombreux secteurs d’activités et l’utilisation de bonnes pratiques pour l’audit de processus, la conduite du changement et le pilotage de projets de transformation. La capitalisation de nos connaissances, notre œil externe, notre pragmatisme, l’écoute active de nos clients, nous permettent de soumettre des recommandations précises, que nous sommes en mesure de mettre en œuvre.
 
Récemment, nous avons appliqué avec succès des techniques de « production lean » acquises dans le secteur automobile, pour la réorganisation d’un département dans le domaine de la santé.
 
Depuis la création de Tissot Consulting, nos propositions ont toujours été validées par nos clients, qui nous ont ensuite demandé d’accompagner leur mise en œuvre. Nous ne pouvons que les remercier pour ces preuves de confiance.
Découvrez la publication dans le magazine Le Monde Economique
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Le Monde Economique : Développez votre entreprise en vendant moins

13/4/2016

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Etes-vous prêts à développer votre entreprise en vendant moins de produits ?

​Le consommateur a-t-il réalisé que la fin de vie programmée d'un appareil n'est plus adaptée à sa conscience environnementale ? 
Le consommateur souhaite-t-il être toujours propriétaire des produits dont il a besoin ? 
​Le consumérisme à outrance a-t-il vécu ?
Quelle qu'en soit la ou les causes, nous constatons que les modes de consommation évoluent.
​Plus d’usage …
Le développement de l’usage d’un bien plutôt que sa propriété se développe, grâce notamment à l’effervescence des réseaux sociaux, à l’émergence de nombreuses plateformes collaboratives et au soutien de réseaux informatiques toujours plus rapides.
Est-il nécessaire d’acheter une perçeuse pour s’en servir juste après son déménagement puis l’oublier à la cave ? La louer ou l’emprunter à un voisin n’est-il pas plus adapté ? Je constate que ma perceuse dort à la cave depuis quelques années ….
Cet exemple est applicable à de nombreux autres biens dont nous sommes propriétaires : la voiture, la place de parking ou le garage, la tondeuse à gazon, et bien d’autres …
Imaginons que votre produit soit partagé et utilisé plusieurs fois par an, par plusieurs personnes différentes. Le besoin de propriété diminue, l’usage de chaque unité est plus intense et, de façon arithmétique, cela réduit d’autant le nombre de pièces produites et vendues.
Parallèlement, le consommateur est bientôt prêt à fabriquer un produit chez lui, grâce à l’impression 3D, ce qui réduit les délais de livraison et évite le recours à un transport polluant.

Moins de propriété …

Imaginez maintenant que vous êtes le fabricant de ces produits.
Etes-vous prêt à subir une baisse importante de vos ventes ? Bien sûr que non.
Pensez-vous que vos produits soient concernés ? Vous pensez que non ?
Essayez de répondre « oui, je serais probablement concerné un jour » et imaginez:
  • quels services pourraient apporter de la valeur ajoutée à vos produits,
  • comment les remplacer (même en partie) et absorber une baisse des ventes,
  • comment cibler de nouveaux clients ou de nouveaux marchés,
  • comment aider le client à utiliser votre produit sans qu’il en soit propriétaire,
  • etc …
Des entreprises bien établies ont su reconquérir leurs clients en adaptant leur modèle d’affaire à l’usage plutôt qu’à la propriété : louer, maintenir, remplacer, livrer des outils de chantier plutôt que de les vendre est un exemple.
Anticiper le disfonctionnement de votre produit pour le compte du client, assurer le suivi de l’obsolescence à distance, proposer l’impression en 3D de pièces de rechanges, etc … sont autant de pistes de réflexion à explorer.

Des entreprises naissent …. d’autres se transforment … d’autres disparaissent.

De nouveaux services apparaissent avec des modèles d’affaires qui vont dans le sens d’un mode de consommation éco-responsable avec une empreinte écologique satisfaisante pour le concitoyen. Ces nouveaux modèles permettent de générer des revenus complémentaires ou supplémentaires … que des entreprises avec des modèles d’affaires traditionnels voient fondre.
Prenez l’exemple de la mutualisation des environnements informatiques.
Celle-ci permet d’optimiser l’utilisation des serveurs. C’est un des avantages du « Cloud » qui réduit l’empreinte écologique globale des centres de données. Les fabricants d’ordinateurs fabriquent moins, les vendeurs de services d’hébergement fleurissent. Les coûts pour le client sont réduits et mieux maîtrisés.
Un autre exemple est celui de la mise à disposition d’un véhicule que vous louez en fonction de vos besoins (l’exemple de Mobility en Suisse). Il permet à des citoyens de ne pas être propriétaires d’un véhicule alors qu’ils en font un usage minime. « J’utilise un véhicule lorsque cela m’est utile».
Des outils collaboratifs voient le jour grâce notamment aux volumes d’informations qui explosent et qui sont mis à disposition d’algorithmes puissants.
Un propriétaire de place de parking peut la louer lorsqu’il est absent, s’il est en mesure de partager cette information. L’impact sur l’environnement est positif : les voitures roulent moins longtemps et polluent moins pour chercher une place de parking en ville, la nécessité de construire des parking, généralement moches, est réduite. Nous n’en sommes qu’aux balbutiements.

​Et vous ?

Le consommateur propriétaire d’un bien tangible possède à sa disposition des plateformes collaboratives qui permettent de valoriser ses biens.
Si vous êtes un fabricant de produits de consommation, vous devez imaginer un nouveau modèle d’affaires qui vous permettra de vendre l’usage de votre produit en complément ou en remplacement de la vente de votre produit.
Ne vous posez plus la question de savoir si cela vous concerne, demandez-vous quand vous risquez d’être impactés par ces nouveaux modes de consommation.

Lire l'article dans son intégralité dans Le Monde Economique ici.
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Le Monde Economique: l'entreprise peut-elle changer en douceur ?

31/3/2016

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"Depuis près de 20 ans, nous mesurons le succès et l'échec de projets et les raisons qui conduisent à ces situations : manque de préparation, faible leadership, non anticipation des résistances, mauvaise communication, j'ajouterais aussi « projet trop ambitieux »."

Lire l'article dans son intégralité dans Le Monde Economique ici.
D’après des cabinets d’analyses indépendants et des grands acteurs du conseil (1), environ 70% des projets échouent par une mauvaise approche du changement.
Ces chiffres ont peu évolué en 2 décennies. Mais alors, à quoi servent les spécialistes du changement et les nombreux experts ?
A éviter que la situation n’empire ?
Ou peut-être que ces chiffres ne signifient plus grand chose aujourd’hui.
 
En effet, seuls les nouveaux « projets » sont mesurés dans ces études. Or, tout changement n’est pas nécessairement lié à un projet. Prenons l’exemple d’une démarche d’amélioration continue, qui est une activité d’accompagnement du changement. Ses succès sont nombreux dans les entreprises, et pourtant ils ne sont pas mesurés.
 
En conséquence, oublions ces chiffres et posons-nous une question : Comment  intégrer le changement, au quotidien, pour éviter le lancement risqué de trop gros projets ?
 
Des entreprises comprennent depuis de nombreuses années les enjeux liés à un environnement d’affaire qui exerce une pression accrue sur les produits, les services,  les prix, et même sur leur propre raison d’être.
En effet, l’entreprise n’est pas un ilôt, elle fait partie d’un éco-système complexe.
Elle doit apporter des réponses à ses clients en s’adaptant en permanence à leurs attentes et leur mode de vie, en constante évolution. La nouveauté, c’est la fréquence des changements auxquels elle doit faire face, et leur profondeur, voire leur brutalité. L’exemple le plus récent est l’arrêt du taux plancher EUR/CHF. Celui-ci était prévisible et aurait pu être anticipé.
 
Combien d’entreprises anticipent aujourd’hui le développement du Big Data et de l’Internet des Objets, ou les risques croissants liés à la cybersécurité, pour ne citer que des exemples populaires ?
 
Est-ce que les banques privées sont prêtes à subir les assauts des Fintech, ces nouvelles actrices qui cassent les codes en s’adaptant au nouveau mode de vie des clients ?
Ces banques, ont-elles déjà débuté une démarche de transformation digitale qui permettrait de réduire le risque de devoir disparaître ?
Est-ce que leurs collaborateurs sont prêts à changer leur comportements pour  s’adapter aux nouvelles attentes de leurs clients ?
Quelques récentes discussions indiquent que ce n’est pas toujours le cas, même si l’urgence de faire « quelque chose » est identifiée. Heureusement, il est encore temps d’agir.
 
L’entreprise qui conduit déjà une démarche de gestion du changement en continu, est mieux armée pour absorber de tels événements.
Dans cette approche, on favorise la collaboration d’employés impliqués et responsables, l’innovation qui n’est pas le fruit d’un obscur département mais l’affaire de tous, et la digitalisation qui n’est pas un gros mot.
 
L’entreprise qui franchit les étapes au fil de « projets-stratégiques-majeurs-et-structurants » risque fort d’intégrer les statistiques dans la mauvaise case, ou de dépenser des fortunes pour réussir ses projets.
Je citerai une anecdote dans le secteur public en France voisine : le cas de l’administration fiscale, qui souhaite offrir aux citoyens un interlocuteur fiscal unique. Vu de l’extérieur, c’est une très bonne idée qui est tournée vers le « client final », demandeur d’un service simplifié.
Malheureusement, en janvier 2000, les collaborateurs refusent le projet de réforme qui propose une réorganisation interne de leur administration. La violence du conflit est telle, que ce projet est annulé et que le ministre des Finances démissionne 2 mois plus tard. La marche à franchir était trop haute.
 
Le maintien des emplois en Suisse passe par cette anticipation des changements majeurs de l’environnement externe à l’entreprise. Dommage que tant de sociétés aient délocalisé brutalement, voire supprimé des emplois en 2015. Il en allait de leur survie, et elles n’ont pas eu le choix. Leur choix, maintenant, est de s’interroger sur la façon de mieux anticiper les prochains événements qui impacteraient leur activité.
 
La mise en place d’un processus d’amélioration continu n’est pas compliquée et permet de faciliter une transition douce vers une nouvelle façon de travailler, tournée vers l’extérieur.
 
Il s’agit d’appliquer des règles de bon sens, que chacun utilise en privé à la maison, à la ferme ou dans ses relations sociales : communiquer, être transparent et cohérent, responsabiliser ses collaborateurs, accepter l’erreur, célébrer les mini succès, etc .... Ces comportements sont à la portée de chacun.
 
Toutefois, il reste nécessaire d’utiliser une méthode pour organiser chaque activité, identifier les moteurs et les résistances, créer une équipe soudée, etc ... Les approches de Kotter ou Lewin, associées aux travaux du Mental Research Institute de l’école de Palo Alto, et adaptées à l’entreprise, sont terriblement efficaces.
 
Je me rappelle d’une équipe de support peu motivée, qui manquait de perspectives et de cadrage. Après quelques jours d’audit et de préparation des changements, deux réunions d’équipes, et la mise en place d’une première recommandation, un collaborateur vient me voir et me dit : « Maintenant j’ai confiance, je suis optimiste pour l’avenir ». La première étape d’adhésion au changement était franchie !
 
Une vision, de la transparence, un personnel qui se sent écouté, une méthode simple mais solide, et les premiers résultats positifs apparaissent rapidement.
 
En un mot, l’entreprise capable d’intégrer le changement dans ses routines quotidiennes sera mieux armée pour faire face aux évolutions de son environnement externe, et se maintiendra dans une dynamique d’équipes motivées et tournées vers leurs clients.
 
(1) McKinsey, Ernst&Young, Gartner, IBM, etc ...
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Le Monde Economique: innover ou disparaître

1/2/2016

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"Face aux nouveaux modèles d'affaires qui apparaissent régulièrement, l'entreprise doit se réinventer et innover en permanence, pour rester dans la course, ou prendre le risque de disparaître."

Lire l'article paru dans son intégralité dans Le Monde Economique ici. 
UNE ENTREPRISE MEURT
Qui aurait imaginé que le numéro 1 mondial de la téléphonie mobile disparaisse un jour ? Nokia, une vieille dame qui a vécu sereinement pendant un siècle, a pris le virage stratégique de la téléphonie mobile dans les années 70. Elle capte cette innovation majeure et la stratégie est payante, puisqu’elle devient numéro 1 mondial du secteur 25 ans plus tard, en 1998. 12 ans plus tard, alors qu’elle reste encore numéro 1 mondial de la téléphonie mobile, sa disparition semble amorcée. Nokia n’a pas su intégrer une nouvelle innovation de rupture : le smartphone. Sa stratégie de téléphone mobile low-cost ne répondait plus à la demande de ses clients. Cette aventure n’est pas unique et se retrouve dans de nombreux secteurs d’activités. Ainsi, 52 % des entreprises de la liste Fortune 500 établie en l’an 2000 ont depuis disparu de la liste, ont été fermées ou rachetées .

DES ENTREPRISES NAISSENT
De nouveaux entrants connaissent des croissances fulgurantes, grâce à des modèles d’affaires très innovants, et impactent souvent des secteurs d’activités bien établis. Citons le célèbre Amazon qui transforme la distribution du livre, ou Spotify qui remplace l’achat de musique par l’écoute sur abonnement. BlaBlaCar et AirBnB permettent à des particuliers d’échanger des biens directement entre eux, sans intermédiaire. Les agences de location de voiture et de résidences, tout comme le secteur hôtelier, doivent se réinventer pour subsister. Le partage ou la location d’autres objets entre particuliers se développe rapidement.
Cette approche, qui remplace la propriété d’un bien par son usage, réduit le besoin d’achat et augmente l’utilisation qui est faite de chaque bien. Il en résulte, par un simple calcul arithmétique, que la fabrication et la vente de tels biens ne peuvent que diminuer. La rapidité et la fiabilité des réseaux internet et mobiles ont permis le développement de ces applications innovantes au détriment des circuits de vente traditionnels.

DES SECTEURS BIEN ÉTABLIS SOUFFRENT
Les tout-puissants réseaux bancaires sont concurrencés par le financement participatif et le micro-crédit. Les grands constructeurs automobiles ont ignoré trop longtemps le véhicule électrique et TESLA s’est engouffrée dans la brèche. Ils sont aussi indirectement chahutés par le covoiturage qui permet un meilleur remplissage des véhicules et, in fine, une diminution des ventes. Si l’analyse des données collectés sur une personne permet déjà d’améliorer la prévention des maladies, c’est la consommation de médicaments qui devrait diminuer, impactant directement le secteur pharmaceutique et ses blockbusters lucratifs. Cela est un effet négatif du « Big Data » pour certains et l’opportunité de créer un modèle innovant pour d’autres.


COMMENT POSITIONNER VOTRE ENTREPRISE ?
Certains pensent que leur entreprise ne sera pas impactée, que les clients sont fidèles et aiment leurs produits, que la transformation digitale ne les concerne pas. C’est faux. Les clients de Nokia étaient fidèles et aimaient leurs téléphones, ils sont pourtant partis. 
Aujourd’hui, l’entreprise doit intégrer le fait que le client devient un « consomm’acteur digital ». Celui-ci attend que la proposition de valeur soit adaptée à ses besoins personnels, qu’elle soit respectueuse de l’environnement et de ne pas avoir le sentiment d’être considéré comme une vache à lait. Une entreprise qui ne veut pas disparaître aujourd’hui, demain, dans 5 ou 10 ans doit imaginer l’inimaginable. Elle doit mettre en place un processus créatif qui implique les collaborateurs à tous les niveaux avec des profils variés, en s’affranchissant des règles hiérarchiques et des silos entre départements. L’entrepreneur peut se poser une question simple : « et si … ? ». Et si j’offrais un service plutôt qu’un produit à mon client ? Et si j’impliquais mon client dans mon processus de recherche et développement ? Et si je personnalisais mes produits pour capter un nouveau segment de clientèle ? Et ainsi de suite. La liste est infinie. L’entreprise doit s’adapter à son environnement externe en ajustant continuellement sa proposition de valeur. C’est grâce à des processus d’innovation organisés qu’elle peut se réinventer afin d’assurer sa pérennité. 
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La transformation digitale : phénomène de mode ou nécessité ?

4/1/2016

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La transformation digitale n’est pas affaire de grands mots, ni de projets techniques pour cadres informatiques de hauts vols. La transformation digitale, c’est de l’innovation à tous les niveaux avec des outils quotidiens qui changent la vie des salariés et des consommateurs.  
Car aujourd’hui le client est de plus en plus informé : il compare, il échange, il partage, il recherche des services personnalisés et intègre l’environnement dans ses décisions d’achats… il devient comme on dit « consom’acteur ».
De son côté, l’entreprise a cessé d’être une île, et sa performance est de plus en plus liée à ses capacités d’innovation, de compréhension et d’adaptation au monde mouvant qui l’entoure.
Cette transformation passe par l’écoute de l’ensemble des parties prenantes de l’entreprise et de l’écosystème dont elle fait partie, et en premier lieu de ses clients.
La transformation digitale permet donc de rapprocher l’entreprise de son client final, afin de mieux le comprendre et lui proposer une offre adaptée. Aujourd’hui, la question n’est donc plus de savoir si celle-ci est un phénomène de mode ou pas. La vraie question est de savoir si le digital sera un facteur clé de succès pour les entreprises qui chercheront à rayonner sur leur secteur d’activité...​
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L’ENTREPRISE A CESSÉ D’ÊTRE UNE ÎLE, ET SA PERFORMANCE EST DE PLUS EN PLUS LIÉE À SES CAPACITÉS D’INNOVATION.
Billet paru dans Le Magazine du CREG No 2
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